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 bios tos sab

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Nathan Abraxas
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Nathan Abraxas
MessageSujet: bios tos sab   bios tos sab Icon_minitimeDim 31 Mar 2019, 18:12 ()

Carlisle Cullen a écrit:
Carlisle Cullen




Prénom : Carlisle ; Nom : Cullen ; Age : 378ans ; Statut matrimoniale : marié ; Race : vampire ; Avatar : Peter Facinelli





Caractère :

Bien loin de l'image du monstre sanguinaire qu'on lui a tant décrit dans son enfance, Carlisle est d'un naturel calme et maitrisé. A même de calmer les tensions qui peuvent parfois se créer au sein de sa famille, voire auprès d'autres clans de vampires ou même de modificateurs. Fin diplomate, il évite le conflit autant que faire se peut, mais se montre tout à fait capable de se battre quand sa famille se trouve menacée. Il ne croit pas une seconde à la théorie selon laquelle les vampires sont dépourvus d'âme, et connait la profondeur des sentiments qui l'animent concernant son épouse et chacun de leurs enfants. Il est également loyal et ne reviendra pas sur sa parole, sauf cas d'extrême urgence.

Anecdotes :

• Il possède une totale maitrise de soi qui lui permet d'exercer à l'hôpital au milieu de blessés plus ou moins graves sans que la moindre soif de sang ne lui vienne.
• Il prône la non-violence et préfère parler avant d'agir. Seulement, sa gentillesse naturelle a des limites, et toucher à un cheveu de ses enfants en fait partie. Autrement dit, vis à vis de Caius actuellement, il est prêt à la guerre si c'est la guerre que l'autre cherche.
• Malgré leurs différents récents, il continue à voir en Aro l'ami qu'il a eu un jour, et espère bien qu'il saura expliquer à son frère de quel bois il se chauffe. Sans doute ne lui tournera-t-il pas le dos si le Volturi lui propose une alliance.

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Eyota.


Carlisle Cullen a écrit:
Eleazar Denali a écrit:
My story




Londres, 1640. La nuit est tombée depuis quelques heures déjà. Une nuit noire et sans lune. Dans la demeure d'un pasteur en apparence comme un autre, une vie s'éteint tandis qu'une autre vient en ce monde. A peine né, ce fils que le pasteur attendait tant doit composé avec l'absence de ce que peut offrir une mère, et le ressentiment que son père éprouvera sans doute toujours envers lui d'avoir contre son gré causé la mort de sa mère.
Tout jeune, il fut entrainé à suivre les traces de son père, dans le véritable métier qu'il exerçait derrière sa couverture anglicane. La chasse aux "monstres". Vampires, Loups-garous, sorcières, et un bon nombre d'innocents ayant eu le malheur de croiser sa route.

Carlisle avait 23ans quand il dut succéder à son père. Ce dernier, affaibli par l'age, n'était en effet plus aussi efficace que dans ses jeunes années, s'il fut vraiment efficace un jour. Car s'il a condamné à mort de nombreux innocents, le nombre de véritables monstres qu'il a permis d'abattre était moins glorieux. Même s'il est évident que cette information ne courrait pas les rues. Quand un innocent venait à être tué? On inventait quelque chose justifiant son appartenance au Malin, prouvée par ceci ou cela s'étant produit durant son exécution (Si une femme flotte après sa noyade, c'est une sorcière, si elle coule, soyez heureux, elle a rejoint le saint père? ), on offrait quelques prières à un dieu trop silencieux et cela repartait de plus belle. Et donc, était venue l'heure que le fils ne reprenne le mortel flambeau de son père. Seulement, contrairement à son ainé, il sut débusquer un véritable nid de vampires.

Et pourtant il ne l'avait pas cherché. Parce que s'il n'a rien connu d'autre dans sa courte existence que le rôle que son père tenait à lui transmettre, la chasse n'a jamais été un plaisir pour lui. Principalement à cause du fait que tant d'innocents meurent pour "en sauver davantage encore". Qui étaient les monstres en fin de compte? Ceux qui hantaient les histoires que l'on raconte le soir pour tenir les enfants sages, ou ceux qui chassaient ces créatures? Enfin bref, d'une banale ronde dans les égouts de Londres en est ressorti la localisation d'un nid de vampires. Devant le nombre, les renforts s'imposaient, et quelques dizaines de minutes plus tard, l'armée des fourches et des torches s'ébranlait, la populace réunie pour affronter l'ennemi commun. Dans la cohue, un vampire s'échappe, rapidement pourchassé par Carlisle et trois de ses compagnons. Seulement, à quatre contre un, les chasseurs ne firent guère le poids face à l'ennemi, qui en tua rapidement deux et en enleva un troisième.

Et le quatrième? Mordu à la carotide et perdant le sang abondamment, le fils prodige ne put que se trainer dans une ruelle obscure et prier pour ne pas être découvert par ses désormais anciens alliés. Car il savait qu'aucun d'entre eux ne pourrait plus rien pour lui. Au contraire, s'il se trouvait repéré par qui que ce soit, chasseur professionnel ou homme de la cité prêtant aide pour un soir, son existence s'arrêterait là. Car insidieusement, minute après minute, le venin du vampire se propage dans son organisme. Et minute après minute, le jeune chasseur devenu proie se traine plus profondément dans cette ruelle qui devient son refuge temporaire, jusqu'à rejoindre une cave remplie de pommes de terre dans laquelle il espère que personne ne viendra chercher. Ou ne l'entendra, malgré les cris qu'il offre à la souffrance qui s'empare de lui comme la vie quitte son corps petit à petit. Il se sent mourir, un peu plus à chaque instant, et si son éducation de chasseur lui ordonne d'y mettre un terme, ou de se rendre à d'autres qui sauraient en finir, un instinct de survie venu d'ailleurs le fait rester dans cette cave qui protège sa transformation.

Après trois jours de ce traitement infernal, la seule douleur qui resta en lui fut celle de son désespoir face à ce qu'il était devenu. Tuer des innocents pour survivre, tel que l'exigeait sa nouvelle nature, non envisageable pour lui. Quand à se rendre à son père et ses alliés et les laisser le mettre en pièces, non envisageable pour le vampire à présent en lui. Il profite donc de l'obscurité de la nuit pour quitter la ville, se réfugiant dans la campagne alentours et les forêts proches. Son objectif principal? Se tuer avant d'avoir à tuer un innocent, avec pour compte à rebours la faim qui monte en lui, jours après jours. Mais les nouveaux-nés sont des plus puissants, et ni se jeter du haut d'une falaise, ni se noyer, ou les dix autres façons de se suicider qu'il a pu essayer n'ont eu raison de lui. Et cette faim qui montait, de plus en plus, jusqu'à rendre son jugement aléatoire. Se laisser tenter à succomber à cette faim, revenir en ville et abattre quelques personnes serait si facile. Et pourtant, il conserve assez de conscience en lui pour ne pas céder. Même si la faim grignote cette conscience, centimètre par centimètre, jusqu'au point de non retour. Qu'il refuse cependant de franchir, préférant s'en prendre à un troupeau de cerfs qui croise son chemin. Et peu importe s'il en meurt, s'il ne peut supporter ce sang si différent de celui que son instinct appelle à grands cris.

Seulement, il y survit. Enfin, autant que peut "survivre" un vampire. Et il comprend alors qu'au delà de tout ce qu'il a déjà entendu sur les vampires, ces derniers ne sont pas forcés de s'abreuver de sang humain pour survivre. Le sang animal y convient très bien, même si l'attrait que représente le sang humain reste quelque chose qu'il devra contrôler. Le cheval peut se contenter de foin pour vivre, mais ne refusera jamais l'herbe verte qui pousse dans le pré du voisin. Et il en est de même pour lui. Si sa conscience l'a toujours empêché avec succès de s'en prendre à des êtres humains, il a du combattre son instinct de prédateur durant des décennies. Deux siècles pour être exact.

Après cette découverte, il décide de quitter l'Angleterre, où il aurait été trop dangereux pour lui de rester comme, ne retrouvant pas sa dépouille, les alliés de son père n'auraient guère mis de temps à comprendre ce qu'il était advenu de lui. Sans un regard en arrière, il est parti, et c'est à la nage qu'il traverse la Manche pour rejoindre la France. Depuis la France, il écume l'Europe, étudiant dans toutes ses universités, se spécialisant dans la médecine tout en apprenant à contrôler sa soif de sang. Deux siècles y furent nécessaires, mais il y parvint. A une perfection lui permettant de prendre soin de personnes blessées sans avoir la moindre envie de leur sang. Lui permettant d'exercer la médecine, ce métier qu'il s'est choisi, sans risquer la vie de ses patients.

Ses études le mènent à Volterra, où il croise rapidement la route des Volturis. Lui qui n'avait jamais croisé d'autre vampire que lui-même depuis sa transformation ( exception faite d'une rencontre trop rapide avec un nomade nommé Alistair dans les premières années de son existence de vampire ) accepta leur offre de rester parmi eux. Durant un temps. Quelques décennies. Le temps pour lui d'être dégouté du mode de vie des princes italiens et de quitter l'Italie pour le Nouveau Monde, l'Amérique, où il exercera son métier de médecin.

1911. Columbus, dans l'Ohio. Remplaçant le médecin local absent, Carlisle est appelé au chevet d'une jeune femme qui s'est cassé la jambe en tombant d'un arbre. L'attraction mutuelle qu'ils ressentent pendant un court instant fait réfléchir le vampire sur la solitude qui l'entoure depuis sa transformation. Certes, il a des contacts avec nombre d'humains, dans sa profession, mais on peut être entouré de monde et se sentir incroyablement seul. Un compagnon avec qui partager son existence et ses convictions, voilà ce qui lui manquait cruellement, et ce que même les Volturis, malgré leur nature semblable à la sienne, n'ont su lui apporter, tant leurs idées divergeaient des siennes. Seulement, les souvenirs de sa propre transformation et de la douleur qui l'a accompagnée suffisent à l'empêcher de faire souffrir quelqu'un d'autre de la sorte. Sauf peut-être si c'est là le seul moyen de sauver la vie de la dite-personne.

Edward. 1918. Chicago, dans l'Illinois. La grippe espagnole se propage depuis plusieurs semaines et les médecins du pays sont sur le pied de guerre. Carlisle travaille de nuit à l’hôpital lorsqu'il se retrouve au chevet d'une femme mourante qui le supplie de sauver son fils, également touché par la maladie. S'il se demande si elle a deviné sa nature, il n'aura pas l'occasion de lui poser la question comme elle décède quelques heures plus tard, au coucher du soleil. D'abord hésitant, tiraillé entre sa solitude grandissante et la peur de ne pas être capable d'assez de retenue pour ne pas tuer le jeune homme, il se décide finalement à exaucer le dernier souhait de la mère et transforme son fils, Edward, en vampire. Se considérant rapidement comme père et fils adoptif, les deux vampires reprennent la route ensemble, Carlisle aidant Edward à contrôler sa soif de sang tandis que ce dernier se découvrait le pouvoir de télépathie. Carlisle ne voulait plus être seul? Et bien, il ne le serait même plus dans sa propre tête.

Esmée. 1921. Ashland, dans l'Oregon. Après un nouveau déménagement et toujours médecin, Carlisle est appelé au chevet d'une mourante, une jeune femme ayant tenté de se suicider après la perte de son fils. S'étant jetée d'une falaise, elle était dans un état tel qu'elle en fut presque laissée pour morte avant de l'être véritablement. Pour tout dire, Carlisle fut le seul à voir qu'elle n'était pas morte, entendant son cœur battre encore, quoique faiblement. Cependant, au premier regard, le vampire reconnut sans l'ombre d'un doute la jeune fille qu'il avait soigné dix ans plus tôt, et par laquelle il s'était senti irrémédiablement attiré. Ne comptant pas la laisser mourir, il la transforme à son tour, avant de lui expliquer son geste à son réveil. Lorsque Carlisle et Edward quittent la ville, Esmée vient avec eux. Elle épouse finalement Carlisle et devient la mère adoptive de Edward.

1927. L'harmonie qui régnait jusqu'alors dans le trio se brise quand Edward, ne supportant plus le régime alimentaire de Carlisle, s'éloigne. Il est connu que quand les parents disent blanc, les enfants répondent noir. Et donc le jeune vampire se laisse aller à sa soif de sang humain, utilisant son donc de télépathie pour cibler les personnes "ayant mérité un tel sort". L'ex-mari abusif d'Esmée, pour commencer, et d'autres encore. Carlisle aurait pu l'arrêter, le forcer à revenir dans le groupe et reprendre l'alimentation végétarienne, mais il préféra laisser Edward choisir sa voie lui-même. Le forcer à quoi que ce soit n'aurait fait que le braquer davantage, et, de toute façon, l'intention de Carlisle n'a jamais été de forcer les autres à suivre ses idées. Chacun est libre de ses choix, bien qu'il fut agréablement surpris de voir revenir son fils adoptif à la maison, à peu près quatre années plus tard. Quatre longues années pour lui, passées entre l'incertitude concernant Edward et les rares mais existantes pertes de contrôle de Esmée.

Rosalie. 1933, New York, dans l'état du même nom. Si ses parents adoptifs coulaient le parfait amour, Edward demeurait éternellement seul, ce qui n'était clairement pas du goût de Carlisle, qui n'imaginait plus sa vie sans Esmée et peinait à supporter que son fils ne trouve pas (ou ne cherche pas) de compagne. Alors, lorsque leur route croise celle de Rosalie Hale, laissée pour morte dans une ruelle, Carlisle n'a pas hésité à la transformer, pensant offrir une compagne à Edward par la même occasion. La réaction du jeune vampire ne se faisant pas attendre, le médecin comprit qu'il n'avait pas à forcer la main de son fils et que ce dernier saurait trouver tout seul celle qui lui conviendrait. Rosalie a néanmoins rejoint le clan familial, devenant rapidement la petite sœur d'Edward, et une nouvelle fille adoptive pour Carlisle et Esmée.

Emmett. 1935. Gatlinburg, dans le Tennessee. Un jour que Rosalie était partie chasser dans les montagnes, elle revint avec un gibier peu conventionnel sur l'épaule. En effet, elle avait croisé un jeune homme blessé par un ours, et l'a porté sur plusieurs dizaines de kilomètres tout en combattant l'envie de se nourrir pour l'amener à Carlisle pour qu'il le transforme. Si elle aurait aussi bien pu le faire elle-même sur place, elle craignait de ne pas se contrôler et de le tuer par accident. C'est donc le patriarche du clan qui s'y colla, une fois de plus. Et Emmett rejoignit le clan, devenant le compagnon de Rosalie, et attirant quelques ennuis derrière lui, obligeant la famille à plusieurs déménagements suite à des écarts de conduite de sa part.

1937. Forks, dans l'état de Washington. Les vampires tout juste installés se retrouvent confrontés à d'autres locataires surnaturels des lieux, les Quileutes. Ces derniers n'aiment guère les vampires, et chacun des deux clans pourrait prétendre être une menace pour l'autre. Aussi, pour éviter un conflit inutile, Carlisle signe un traité avec Ephraïm Black, l'arrière grand-père de Jacob Black. Les loups laissent les vampires vivre en paix à la condition qu'ils ne pénètrent pas sur leurs terres et qu'ils ne mordent aucun humain, que cela soit pour se nourrir ou pour le transformer. Peu équitable, mais un moindre mal en rapport des conséquences qu'aurait pu avoir un conflit ouvert. Et Carlisle était prêt à n'importe quelle concession afin de protéger les siens. D'autant plus qu'ils n'avaient rien à faire chez les loups (rien que l'odeur étant pour eux un parfait répulsif), et qu'ils ne se nourrissaient pas sur les humains. Quand à en transformer, ils sauraient s'en passer. Au final, ce traité ne se trouvait pas être si handicapant que cela pour eux.

Alice & Jasper. 1950. Aidés par les visions d'Alice, qui l'ont guidées vers le clan Cullen, Jasper et elle rejoignent Carlisle et sa famille et deviennent à leur tour les enfants adoptifs de Carlisle et Esmée, bien que Jasper ne prenne pas le nom de Cullen mais celui de Hale, le même que Rosalie. En effet, usant de leur ressemblance physique, ils se font passés pour des jumeaux. Depuis lors, ils ont beaucoup voyagé, toujours sur le territoire américain. Et si certains s'éloignent parfois, tous finissent toujours par se retrouver, chacun se considérant comme un membre à part entière de la grande famille qu'ils composent. Partout où ils passent, Carlisle travaille à l’hôpital tandis que le reste du clan écume les universités, s'offrant un tableau de chasse de diplômes qui est devenu une sorte de défi entre eux.

2002. Pour eux, c'est le retour à Forks, et les retrouvailles avec les Quileutes, qui s'empressent de rafraichir la mémoire des vampires sur leur Traité. Ils réinvestissent la Villa qu'ils avaient quitté plus de 50ans plus tôt, et Carlisle se fait embaucher à l’hôpital local, une fois n'est pas coutume. On pourrait penser qu'après toutes ces années, il se soit totalement lassé de la médecine, mais il aime bien trop son métier pour cela.

2004. Pour eux, le début des problèmes, quand, après un siècle de solitude, Edward s'entiche d'une humaine, Bella Swan. Humaine dont l'odeur bien trop attrayante cause des ennuis d'abord à Edward puis à Jasper - qui, après un siècle à se nourrir d'humains, peine encore à se contrôler après cinquante ans de régime végétarien -, quand elle n'attire pas l'attention d'un traqueur contre qui tout le clan doit se mobiliser. Si Carlisle a d'abord tenté de raisonner Edward, il a finalement été ravi que son fils ai enfin trouvé quelqu'un et a accueilli Bella dans la famille malgré les risques. Risques qui, avant de concerner les Volturis ou les Quileutes - que Carlisle n'aurait pas eu la folie d'oublier - concerne le clan en lui-même. En effet, une fête d'anniversaire en l'honneur de la jeune femme manque de peu de mal se finir quand elle se coupe avec du papier et l'odeur de son sang fait perdre son contrôle à Jasper.

Pendant que Carlisle soigne Bella, cette dernière lui demande comment il fait pour se contrôler comme il le fait. Heureux que quelqu'un lui pose la question sincèrement et non pas avec l'attitude hypocrite que savaient employer les frères Volturis, c'est sans détour qu'il lui explique qu'il en est capable parce qu'il aime ce qu'il fait, et mettre ses capacités au service de ceux qui en ont besoin. Si Jasper a été le seul à réagir violemment à l'odeur de son sang, le reste du clan préfère garder ses distances le temps pour Carlisle de nettoyer ses plaies, et Edward se met en tête qu'ils sont une menace réelle pour Bella. Lui s'éloignant, le clan au complet le suit, et Carlisle abandonne son poste à l'hopital de Forks pour travailler a Ithaca, tout en enseignant à l'université Cornell à temps partiel. Si les raisons de leur départ et l'humeur de Edward depuis lors le chagrinent, pouvoir transmettre ses connaissances à la prochaine génération de médecins lui apporte une certaine consolation.

Il est cependant content de revenir s'installer à Forks et reprendre son poste à l'hopital, et de voir Edward et Bella se remettre ensemble. Il est reconnaissant envers la jeune humaine d'avoir sauver son fils et vote favorablement à son intégration complète dans le clan, proposant même de la transformer lui-même dès la fin de ses études. Il sait cependant se trouver dans une impasse la concernant, les Volturis désirant sa transformation quand les Quileutes s'y opposeront, mettant en jeu la fin du Traité passé entre eux depuis des décennies.

Cependant, les relations avec les Quileutes ne vont pas forcément en s'aggravant. Le retour de Victoria accompagnée d'un nombre important de vampires provoque la "naissance" de nouveaux loups, toujours plus nombreux, et met les modificateurs en alerte constante. De leur coté, les Cullens perdent l'appui de leurs alliés de longue date, les Denali. Face à un ennemi commun, les deux clans s'allient et combattent ensemble l'armée des nouveaux-nés. Carlisle est même autorisé à franchir les limites de la Push quand il s'y rend afin de soigner Jacob, qui a de nombreux os cassés suite à la bataille. Vu sa vitesse de régénération et le fait que, du à sa transformation, il faille à Carlisle recasser certains de ses os afin de le soigner convenablement, il était de toute façon hors de question de l'emmener à l'hopital. Curieux de nature, le vampire en profite pour prélever un peu de sang au jeune loup, en découvrant davantage sur la nature de leurs nouveaux alliés. Il découvre notamment que les loups possèdent 24paires de chromosomes, contre 23 pour les humains et 25 pour les vampires.

Si les relations avec les Quileutes sont moins tendues, ces derniers restent méfiants en ce qui concerne Bella, et ne comptent pas laisser les vampires la mordre, même si elle est la première volontaire à l'opération.

Carlisle et son clan devront cependant composer avec l'odeur des loups autour de la Villa comme Bella - après son mariage avec Edward et la découverte de sa grossesse plus qu'inattendue, autre sujet d'étude pour le toubib - devient le point central d'un conflit interne entre les loups, partagés entre ceux qui veulent sa mort et ceux qui veulent la protéger. Le médecin fera de son mieux pour aider Bella durant sa grossesse et après sa transformation, remarquant rapidement qu'elle se contrôle remarquablement bien pour un nouveau-né. Comme le reste de la famille, il s'entiche rapidement de Renesmée. Quand les Volturis entendent parler de la jeune fille par Irina Denali et pensent avoir affaire à une enfant immortelle, il rassemble un maximum de ses alliés autour de son clan pour témoigner du vieillissement continu de la fillette, et, au pire des cas, affronter les Volturis. Dans le même temps, s'il est attristé de la décision de Jasper et Alice de les quitter, il comprend et accepte leur décision sans tenter de les retenir contre leur gré.

Le retour d'Alice et Jasper avec un témoin que les Volturis ne peuvent contredire (ou un autre dhampire que Renesmée) ainsi que la vision d'Alice promettant sa propre mort ainsi que celle de plusieurs représentants du clan Volturi effrayant suffisamment ces derniers pour les faire réfléchir permettent d'éviter une bataille aussi sanglante qu'inutile, bien qu'Irina paye de sa vie son erreur de jugement au sujet de Renesmée.
Depuis lors, Carlisle s'attend à voir les Volturis revenir pour se venger de leur honneur blessé mais sera là pour les recevoir. Quand aux Quileutes, ils font quasiment partie intégrante du clan rien que par la présence de Jacob, qui n'a rien trouvé de mieux que s'imprégner de la fille de Bella & Edward, et chacun des deux clan soutiendra l'autre au besoin. De quoi assurer la paix que Carlisle souhaitait lors de la signature du Traité, tant d'années auparavant, même s'il n'aurait pas imaginé qu'il faille passer par tant de rebondissements pour y parvenir.

Le coup d'Etat de Caius, Carlisle ne l'a pas vu venir. Pas plus qu'il n'a pu empêcher l'enlèvement de sa petite fille, puis la folie de Edward et Alice d'aller eux-même la chercher en personne, alors que tout le monde savait parfaitement que c'était ce que Caius voulait, sans avoir besoin des visions d'Alice ou de la télépathie de Edward pour ça. Suite à cela, il a entrainé la famille en Italie, sous le nez de leur ennemi du jour. Bientôt rejoints par les Denalis auxquels il n'avait rien demandé mais qu'il remercie de leur soutien, et par d'autres alliés plus imprévus et imprévisibles, tels les Roumains. Ensemble, Carlisle compte bien trouver une solution pour destituer Caius et remettre le véritable roi des vampires sur le trône.


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MessageSujet: Re: bios tos sab   bios tos sab Icon_minitimeDim 31 Mar 2019, 18:13 ()

Eleazar Denali




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Caractère :

Sa bienveillance et son sens de la justice, c'est ce qui le caractérise le mieux selon ses proches.
Magnanime, il sait jouer les médiateurs au cours d'un conflit, trouvant en général les mots juste pour déverrouiller la situation.
Il respecte l'autorité de Tanya bien qu'il apprécie d'apporter sa pierre à l'édifice quand il a des informations utiles à offrir.
Toujours aussi amoureux de Carmen après les plus de deux siècles passés ensemble, il a su résister au pouvoir de Chelsea pour elle et la Volturi n'est pas prête de pouvoir glisser son don entre eux. Menacer Carmen serait sans doute le seul moyen de le faire sortir de ses gongs et découvrir le vampire qui sommeille en lui.

Anecdotes :

• Il a le don de sentir le don des autres vampires, mais également des humains, même si cela lui demande une plus grande attention.
• Si son don est altéré par celui de Bella, il a tout de même su l'identifier, et non pas penser qu'elle n'en possédait aucun.
• Il considère Tanya et Kate comme ses propres sœurs. Il en fut de même pour Irina, mais il préféra accueillir le chagrin de son épouse et de ses sœurs que partager le sien.
• Il apprécie Garrett pour le bien qu'il fait à Kate, et espère que Tanya saura elle aussi trouver chaussure à son pied. Si possible en ayant pas besoin d'une nouvelle confrontation avec les Volturis pour cela.
• Ancien garde Volturi, il est un source de renseignements inestimable à leur sujet. Dans le même temps, plus il est loin des princes italiens, mieux il se porte.
• Espagnol de naissance et ayant passé près de 50ans au service des Volturis, il parle aussi bien l'espagnol et l'italien que l'anglais. Il a une faiblesse pour la langue de Molière, mais doit reconnaitre de nombreuses lacunes tant à la comprendre qu'à la parler.

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My story




Je suis né en 1700 dans un petit village du sud de l'Espagne. L'un de ces endroits où le soleil semble ne jamais vouloir arrêter de déverser ses rayons et sa chaleur accablante sur la terre. L'un de ces endroits où il parait inconcevable de trouver un vampire. Je n'ai que peu de souvenirs de cette existence, principalement parce que j'ai tiré un trait dessus il y a bien longtemps. Si j'ai été marié ou si j'ai eu des enfants? Non, ça je pense que je m'en serais rappelé.

1739. Durant les heures les plus chaudes de la journée, il n'y a pas un chat dehors dans cette région. Mais dès lors que le soleil se couche et laisse place à sa compagne la lune, alors la vie reprend, malgré les superstitions. Superstitions possédant leur fond de vérité, comme je le découvris sans le désirer. Sans vraiment le chercher, j'ai toujours eu mon petit effet sur ces dames, et m’éclipser d'une fête avec l'une d'elle, si ce n'était pas "courant", n'était pas chose extraordinaire. Ses baisers s'accompagnant rapidement de deux piqures désagréables, puis d'une véritable douleur, ça pour le coup, ce n'était guère habituel. J'ai pensé voir ma dernière heure arrivée quand mon instinct de conservation a compris qu'elle était tout simplement en train de me pomper le sang. Paniquer? Je crois que l'idée ne m'a pas même effleuré, tant cela a été soudain.
Sans doute ma tortionnaire a-t-elle été interrompue en plein repas, je dois dire que j'étais plus mort que vif à ce moment là, car elle me relâcha soudainement, me laissant choir au sol sans cérémonie, et avait quitté les environs avant même que je ne relève le regard vers elle. J'ai passé trois jours à agoniser, ayant l'impression de bruler de l'intérieur aussi certainement que si j'avais avalé de l'acide. Le quatrième soir, je suis parvenu à sortir de ma cachette, envahi par la double sensation d'une puissance nouvelle et d'une soif intense accompagnée d'une grande faiblesse. Se sentir fort et faible à la fois, c'est une impression étrange.

1742. Je suivis quelques mois durant un nomade rencontré pendant une chasse trop impulsive et loin d'être discrète, qui m'apprit ce que j'avais à savoir sur ce monde qui était désormais mien. A la condition de ne pas être une gène pour lui, le faire découvrir, lui faire rater une chasse et j'en passe, mais je m'avérai plutôt bon élève. C'est alors que nous arrivions en Italie que nos chemins se séparèrent. Lui désirait poursuivre jusqu'en Grèce, et s'épargner le voisinage des Volturis. Pour ma part, je voulais en savoir plus sur ces garants de la justice des vampires dont j'avais entendu parlé avec tant de crainte.

Ça m'a frappé en apercevant les premiers d'entre eux. La Garde, bien sur. Il en faut un peu plus que s'approcher du palais pour avoir droit à une audience avec Aro et ses frères. Cette sensation que j'avais déjà ressenti face à certains humains, mais bien plus forte, plus pressante, et plus claire. La torture, le bouclier, la capacité de se jouer des relations des uns et des autres... leurs dons m'apparaissaient aussi clairement que s'ils avaient été miens, l'espace d'une seconde. Des dons étranges, pour des pourvoyeurs de justice, dans le sens où j'entends le mot justice. Les princes m'ont impressionné, cela dit, et je ne peux nier que Aro sait trouver les mots pour dire les choses. Un télépathe. Je n'ai pas eu besoin de déposer ma main dans la sienne pour le comprendre. Lui a semblé emballé par les perspectives que lui ouvraient ma capacité. Caius beaucoup moins. Je pense que ce vampire n'aime personne hormis lui-même.

Aro me fit intégrer la garde Volturi. Développer mon don pour comprendre non seulement les pouvoirs des vampires, mais également ceux des humains susceptibles de développer un don lors de leur transformation. Ils sont rares, mais ils existent. Et avec ce qu'il faut de concentration, je peux les repérer. J'ai souvent douté, me demandant si Aro agissait vraiment par idée de justice ou par simple collectionnite aigüe. Lorsque un clan avait, selon lui, a subir son courroux, ceux qui se voyaient pardonner la faute et intégrés à ses rangs étaient systématiquement ceux que je lui désignait comme porteurs de dons intéressants. Une situation qui m'éloigna progressivement du reste de la garde. Je suis loyal, et n'ai a aucun moment trahi Aro durant ma présence parmi les siens, mais j'ai passé des heures à arpenter seul les couloirs de cette illustre demeure, ne tenant pas franchement à tomber sur l'un ou l'autre de mes alliés du moment.

1779. J'avais été envoyé en Espagne, ainsi que quelques autres, afin d'en ramener un jeune vampire prometteur, d'après les informations que Aro avait obtenu d'une autre vampire de moindre importance ayant croisé le chemin du jeune prodige. Confirmer les capacités du nouveau-né, et le ramener en Italie, une mission simple en apparence. Banale. Sauf que le jeune était accompagné. Une vampire que Aro qualifierait toute aussi banale, de par son absence de don. A mes yeux, elle en eu rapidement un pourtant. Celui de me taper sur le système, dans le bon sens du terme. Trouvant réponse à chacun de mes arguments, qu'elle démontait proprement, ses propres arguments ne tombant pas tout à fait dans l'oreille d'un sourd. Au fil des années, j'avais fini par accepter ce que les Volturis appellent justice bien que mes principes ne s'y accordaient pas. Elle a réveillé cette part de moi qui désirait vivre selon mon propre code d'honneur, sans devoir accepter celui, pernicieux, des puissants du monde. Carmen. J'ai beaucoup voyagé en un demi-siècle, mais finalement, ce n'est guère loin de ma région natale que j'ai trouvé la perle rare.

1788. Comme je l'avais prédit, son absence de ... particularité, l'a rendue inintéressante aux yeux de Aro. Pour ma part, je finissais par passer plus de temps auprès d'elle qu'à Volterra. Durant neuf années, j'ai conjugué ces deux parts de ma vie, l'une tendant à prendre de plus en plus de place sur la seconde. Nombreuses furent les occasions pour Carmen de critiquer les choix des Volturis, et chacune de ces conversations me faisait comprendre davantage que ma place n'était plus à leur cotés, si elle l'avait été un jour. De leur part, j'avais appris tout ce que j'avais à apprendre, et il était temps pour moi que je fasse mes propres armes. Vint le jour où je donnai mon congé à Aro, ayant préparé une foule d'arguments à mon avantage afin de le convaincre de me laisser m'en aller. En vérité, il était déjà bien au courant de la raison de ma venue à lui. Il semblerait que Marcus et son étrange don avaient su remarquer que ma loyauté et mon cœur appartenaient à une autre, et que même Chelsea n'avait rien pu faire contre cela. Je n'eut pas un mot à prononcer qu'il me rendit ma liberté, avec la promesse que je serais toujours le bienvenu à la cour si l'idée m'en disait. Un don aussi intéressant que le mien serait gâchis que d'être perdu. Une pensée que je gardais cependant pour moi.

1789. On aurait pu croire que l'été français était le dernier endroit où trouver deux vampires. En vérité, nous étions bien plus nombreux que cela aux alentours de la capitale au ciel obstrué par la fumée des canons à poudre et des fusils à chiens. Des jours durant, le soleil ne put percer la couche grisâtre qui bloqua ses rayons, nous laissant tout loisir d'évoluer parmi les hommes en plein jour sans nous soucier de notre discrétion. Ce que nous faisions ici? C'était service à volonté. Pour rester plus sérieux, bien que la Tour Eiffel n'était pas prête d'être montée en son sein, Paris me semblait une ville appropriée pour fêter les dix ans de notre rencontre. Notre instinct nous fit rester pour participer au banquet. Et notre compassion naturelle nous fit préférer les proies qui n'avaient aucune chance de s'en sortir, et dont nous abrégions les souffrances, aux jeunes gens qui avaient encore une longue vie devant eux.

1800. Au cours de la décennie suivante, nous décidions de quitter l'Europe pour tenter notre chance sur le Nouveau Continent. Le nouveau siècle qui s'ouvrait nous vit rencontrer un clan de vampires aux mœurs particulières. Les sœurs Denali, Tanya, Kate & Irina, dont le mode alimentaire si particulier nous intrigua assez pour nous y essayer. Se nourrir sur des animaux nous permettait d'épargner les humains, et de retrouver un mode alimentaire plus en raccord avec nos principes. Bien qu'il me fut d'abord plus compliqué de planter mes crocs dans la gorge d'une biche innocente que de déchiqueter le col d'un salaud en puissance, j'ai fini par admettre que la nature faisait de la biche une proie alors que le dit-salaud risquerait de manquer à un gosse que j'aurai rendu orphelin. Il fallu quelques années à mes yeux pour perdre leur couleur sanguine et adopter le ton doré de ceux des trois sœurs. Je n'ai pas toujours été très bon élève. Mais j'y suis parvenu, et lorsque Tanya nous a proposé de rester à leurs cotés, nous n'avons guère su hésiter, bien que, si Denali est notre foyer et notre famille, nous nous offrons quelques tours du monde par décennie, Carmen et moi.

J'ai rapidement été intrigué par le don de Kate, et même assez curieux pour m'y risquer, une fois. Certainement pas deux. Notre rencontre avec le clan Cullen, une autre famille de végétariens, m'a donné l'occasion d'user de mon don de nouveau. Aro est un collectionneur, et il est inévitable que sa collection s'agrandisse d'année en année. Carlisle est un homme bien, avec qui j'ai rapidement sympathisé, et il est totalement clair qu'il n'a jamais cherché à rassembler de puissants vampires autour de lui. Et pourtant, entre Edward, Alice et Jasper, il y avait du beau monde chez lui. Au jour d'aujourd'hui, rajoutez Bella et Renesmée, et comprenez l'intérêt bien trop grandissant de Aro pour cette partie de notre famille.

Il y a plus d'une décennie de cela, Carlisle nous a appelé à l'aide, dans le conflit l'opposant à une vampire rouquine ayant créé une armée de nouveaux-nés. Son alliance avec les loups de Forks, ceux-là même qui avaient mis en pièce le compagnon d'Irina, Laurent - un vampire étant trop vite venu et reparti, partagé entre deux loyautés -, causa cependant une crise parmi nous, et, par respect pour la douleur de notre sœur, nous déclinions la demande de nos cousins, bien que nous nous en voulions pour cela, appréciant de savoir que finalement, cette histoire ne s'était pas trop mal terminée, malgré l'arrivée inopinée des Volturis.

Nous avons cependant pu renforcer nos liens quelques mois plus tard, lorsque nous fumes invités au mariage de Bella et Edward, le fils ainé de Carlisle. Si Irina nous refusa sa présence, nous nous y rendions avec plaisir, profitant d'une journée à Forks au sein de cette famille que nous avions l'impression d'avoir trahi plus tôt.

Notre prochaine visite à Forks se voulait cependant sous de moins bons hospices. J'ai contribué à convaincre Irina de s'y rendre afin d'avoir une conversation avec les Cullen, et, si l'idée lui venait en passant, leur présenter ses excuses pour son comportement des derniers mois. Une décision que je regrette depuis, car si nous ne l'avions pas forcée dans cette direction, elle n'aurait jamais aperçu Renesmée sans les explications qui allaient avec son existence, et n'aurait jamais prévenu les Volturis, avec les conséquences que nous connaissons. La perte d'Irina a été un coup dur pour nous, et un sentiment de culpabilité que j'ai eu peine à taire, à défaut de le faire totalement disparaitre. Bien sur, sans cela, nous n'aurions pas ramené Garrett à notre suite, et Kate et lui ne fileraient pas présentement le parfait amour. Un mal pour un bien, dirons nous. Mais parfois, on apprécierai d'avoir le bien sans le mal qui va avec.

Actuellement? Nous sommes toujours à Denali... pour le moment. Le déménagement soudain et imprévu de Carlisle et des siens nous inquiète. Et après Garrett parti en éclaireur, c'est Kate qui est partie à sa suite, contre tout principe de précaution. J'ai tendance à penser que plus loin je suis de Volterra, mieux je me porte, mais s'il nous faut y aller pour protéger les nôtres, j'irai. Entre nous, mon beau-frère a déjà bien assez bravé la patience d'Aro, et il est peut-être temps d'avoir une conversation plus civilisée avec lui. Carlisle, mon ami, tu n'imagines pas dans quel bourbier tu nous entraine cette fois.


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MessageSujet: Re: bios tos sab   bios tos sab Icon_minitimeDim 31 Mar 2019, 18:14 ()

Garrett Denali a écrit:
Garrett Denali




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Caractère :

• Anglophobe convaincu. Il a toujours opposé une solide résistance aux anglais, et ce même avant sa transformation, et a longtemps pris grand plaisir à se nourrir d'eux.
• Expérienceur averti. Il n'hésite en général qu'une demi-seconde avant d'essayer quelque chose de dangereux, et se moque peu d'en subir les conséquences. Le pouvoir de Kate l'a fasciné dès le début, mais loin de se planquer pour essayer, non, c'est devant tout le monde qu'il a fini à terre. Et il y serait presque retourné, n'ayant rien perdu de sa répartie suite à cette scène l'ayant peu mis en valeur.
• Curieux de nature. Ça va de pair. Quand il y a un mystère à élucider, Garrett n'en est jamais bien loin. Il était évident qu'il allait succomber à cette idée folle de se passer entièrement de sang humain au profit du sang animal. Quand à Kate? La, c'est elle qui l'a attrapé! Mais il ne regrette en rien d'avoir mis de coté sa vie de nomade pour la rejoindre au sein de son clan.
• Esprit rebelle. Si les règles dictées ne lui conviennent pas, il se fait les siennes propres. Il n'a jamais considéré les Volturis comme les rois vampires qu'ils se prétendent être, et n'a pas hésité à s'exprimer ouvertement devant eux sur ce qu'il pensait de leur plan véritable lorsque Nessie leur a servi d'excuse pour attaquer les Cullens, malgré le risque évident de rejoindre Irina dans la tombe.
• D'un naturel jovial. Il s'entend avec tout le monde ou presque et va au devant des gens. Au sein d'un groupe composé d'individus isolés, il est celui qui proposerait une bouffe à tout le monde pour créer des liens.
• D'une loyauté sans faille. Il ignore tout de la lâcheté et paye toujours ses dettes. S'il s'est passé plus de deux siècles depuis que Carlisle a sauvé sa petite sœur, il n'a demandé que le temps de finir son repas avant de rejoindre les Cullen lorsque son aide lui a été demandée. Et il le referai sans hésiter.

Anecdotes :

• Il défendra sa cause jusqu'au bout. Les batailles américaines, il les a toutes connues, en tant qu'homme puis vampire. Il affirme d'ailleurs avoir été à deux doigts de mordre Custer mais avoir été pris de vitesse par les indiens ...
• Il n'a pas sa langue dans sa poche, et si il avait à dire ses quatre vérités devant Caius lui-même, il irait. Sa seule retenue serait de craindre pour la vie de ceux qu'il aime. Et de se dire que tout était plus simple quand il n'avait que lui.
• Il s'est essayé au régime végétarien par simple curiosité... et a totalement abandonné le régime sanguinaire pour les beaux yeux dorés de Kate.

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Garrett Denali a écrit:
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Garrett naquit au milieu du XVIIIeme siècle, en Nouvelle-Angleterre. Il eut une petite sœur de quelques années sa cadette. Grand frère protecteur, mais tête brulée et doté d'une obstination sans bornes quand il s'agissait de défendre ses principes et ses convictions, il n'attendit que d'en avoir l'âge pour s'engager dans la bataille, du coté de ceux qui désiraient offrir leur indépendance aux colonies. Un patriote pur de dur qui croyait à cent pourcent aux idéaux du rêve Américain et ferait tout son possible pour le rendre réalisable, à sa petite échelle.

C'est en 1780 que sa chance tourne. Isolé avec une dizaine d'autres soldats sur le champ de bataille, il se fait attaquer par un homme sorti de nulle part qui le laisse inconscient avant de saigner le reste de sa compagnie. Son tour arrivé, le vampire n'a pas terminé son repas, ayant déjà bien trop mangé pour la journée. Laissé pour mort dans la fuite du vampire, Garrett a enduré les affres de la transformation durant trois jours et trois nuits avant de revenir à lui, devant rapidement composer avec une nature inconnue pour laquelle il n'existait aucun mode d'emploi.

Il a appris sur le tas. Son instinct s'affolant à la vue d'un repas potentiel lui apprenant ce dont il avait besoin pour vivre. Du sang humain. Anglais c'était encore mieux. La course menant à cette proie étant bien plus courte que prévue lui apprit qu'il possédait une vitesse supérieure à la moyenne. Et il apprit également rapidement à échapper aux rayons du soleil afin d'éviter de se faire repérer par cette faculté inouïe qu'avait sa peau à briller au soleil comme autant de diamants. Même s'il a souvent tendu une main sous un rayon de soleil pour observer ce phénomène de plus près.

Associant ses nouveaux besoins à son désir d'être utile à la cause qu'il considérait comme juste, il participa à d'autres batailles après celle qui lui couta la vie. Satisfaisant sa soif de sang contre ses opposants tout en apprenant à la juguler face à ses partisans. C'est lors de l'une d'entre elles, à peu près un an après sa transformation, qu'il senti l'odeur d'une personne qu'il ne connaissait que trop bien, et qu'il reconnu aussitôt comme étant sa sœur, partie à la recherche de son frère et grimée en soldat pour une question évidente de discrétion. Ils n'eurent guère de temps à s'accorder que Lottie recevait deux balles, et Garrett abandonna pour une fois le champ de bataille pour la conduire à l'abri derrière la ligne, lui offrant la sécurité d'une infirmerie où il supplia le médecin et l'infirmière de ne rien faire fuiter de l'identité de leur patient...e.

La chance devait être avec lui ce jour-là, pour un temps du moins, parce qu'il s'avéra que le médecin n'était autre que Carlisle Cullen, un autre vampire, lui aussi, mais avec d'étranges yeux dorés que Garrett ne s'expliquait pas à l'époque. Peut-être était-ce comme les humains, qui peuvent avoir aussi bien les yeux bleus que verts ou noirs. Il du admirer le contrôle du vampire blond, certainement plus expérimenté que lui, alors que lui-même du quitter la tente pour s'épargner d'égorger sa propre sœur. Ce jour-là, Carlisle sauva la vie de la jeune femme, et Garrett devait lui en être éternellement reconnaissant. Seulement, malgré le silence des deux praticiens, un officier découvrit la vérité sur Lottie et commanda son arrestation. Garrett se débrouilla pour faire passer pour pire crime sa défection au combat, se faire arrêter à la place, conduire l'officier et le soldat chargé de l'arrestation de sa sœur à l'écart, et les faire passer de vie à trépas.

S'il avait un temps souhaité rester dans la vie de sa sœur, ou du moins à proximité, c'est une idée qu'il oublia ce jour là. Trop dangereux pour elle. Et certainement trop insupportable pour lui. Il était un prédateur, et elle une proie. Il serait inconcevable d'être à ce point imprudent. Par contre, il demeura un certain temps avec Carlisle. Le vampire fut pour lui une source d'informations non négligeables sur ce qu'il était et comment faire avec. Le coté "végétarien"? Il dut avouer à l'époque n'être pas plus tenté que ça. Disons qu'il lui manquait la motivation pour essayer. La guerre offrait un plateau repas quotidien, pourquoi aller chasser ailleurs?

Il participa à bien d'autres batailles américaines après avoir quitté Carlisle, prétendant, à tord ou à raison, avoir manque de peu mordre le commandant Custer, mais s'être fait doubler par les indiens. C'est un fervent défenseur de l'indépendance des États-Unis, et il a su user de ses capacités de vampire pour être utile à sa cause, à son échelle. Sa route croisant un temps celle de Makenna et Charles avant que ces derniers ne rejoignent les Volturis, une "autorité" que Garrett ne reconnait pas. Comme il le dit lui-même, il n'a pas passé sa vie à combattre un roi anglais pour mettre genou à terre devant de pseudos-rois italiens. S'il a toujours pris gare à ne pas se trouver de nouveau dans la vie de sa sœur, il a cependant longtemps profité de ses voyages pour jeter un œil rapide sur elle, puis sur ses enfants après elle.

*******

Lorsque Emmett et Rosalie viennent le trouver pour lui demander de servir de témoin à la famille Cullen contre les Volturis, il ne demande que le temps de finir son repas avant de les suivre. Et si nombre de leurs alliés du jour ont freiné des quatre fers face à Nessie, la prenant au premier abord pour une enfant Immortelle, lui n'a eu qu'un léger recul à l'étrange sensation de son pouvoir imprimant ses souvenirs dans son esprit. C'est à Forks que sa route croise celle des Denali et de leurs yeux aussi étranges que ceux des Cullen. Le végétarisme devait être contagieux. Enfin, la curiosité aidant, il a fallu qu'il essaye. Décrète que le sang animal c'est affreusement mauvais. Mais y retourne de plus belle. Parce qu'il y avait bien plus intéressant qu'une partie de chasse au cerf. Une partie de chasse en bonne compagnie. Et pour les beaux yeux de Kate, il était prêt à devenir vegan s'il le fallait.

S'il s'amuse d'abord des pouvoirs de la beauté blonde, n'hésitant pas à s'y essayer et finir par terre sous le choc électrique, il n'hésite pas à subir du haut voltage ayant couché tour à tour Rosalie et Emmett pour empêcher Kate d'aller se faire tuer par les Volturis après que ceux-ci aient abattu Irina sous le prétexte de son erreur de jugement concernant Nessie. En vérité une stratégie visant à provoquer l'attaque adverse et s'offrir une excuse pour y répondre, qui aurait bien pu parvenir à ses fins sans l'intervention de Garrett, Edward et Zafrina. Lors du pseudo-procès que les Volturis attentent aux Cullens, essayant toujours de trouver une excellente raison à leur présence en ces lieux alors que leur excuse principale - la présence d'une enfant immortelle - s'effondre, il n'hésite pas à prendre la parole au péril de sa vie, taclant Caius et ses frères et leur offrant leurs quatre vérités. Il peut se vanter de les avoir mouché et laissé Aro lui-même à court de mots.

A la suite de cette bataille qui n'a heureusement jamais eu lieu, il intègre le clan Denali et les suit en Alaska. Le végétarisme? Une futilité quand vous avez une bonne motivation pour vous y mettre. Bon, il n'exclut pas tout à fait de risquer de croquer un anglais par ci par là... mais après avoir mangé du caviar pendant plus de deux siècles, difficile de se mettre au McDonald. Présentement parlant, il est toujours des leurs, et ses yeux sont désormais aussi dorés que ceux du reste de la famille. Il n'exclut cependant pas de se rendre en Italie à la suite des Cullen si on le lui demande, considérant son absence de don comme un véritable avantage face aux Volturis. Si ces derniers seraient ravis de compter Kate ou Eleazar dans leurs rangs, qu'en ont-ils à faire de lui? Assez peu pour qu'il puisse se rendre utile sans offrir un avantage aux italiens... et puis, tant qu'il peut protéger Kate, il réfléchira après avoir agi.


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MessageSujet: Re: bios tos sab   bios tos sab Icon_minitimeDim 31 Mar 2019, 18:15 ()

Vladimir a écrit:
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Prénom : Vladimir ; Nom : écrire ici ; Age : plus de trois millénaires ; Statut matrimoniale : veuf ; Race : vampire ; Avatar : Noel Fisher





Caractère :

Il fut l'un des fondateurs et dirigeants de son clan, ce qui transparait encore aujourd'hui dans sa manière d'être. Il semble toujours arriver comme un cheveu sur la soupe, n"hésitant pas à couper la parole quand le sujet semble soudainement l'intéresser, mais quand il parle, on l'écoute.
Il ressent une profonde envie de vengeance à l'égard des Volturis, la seule chose qui pourrait le rendre déraisonnable et lui faire perdre l'instinct de survie pourtant fort développé qu'il possède. Non pas qu'il soit lâche, mais d'ordinaire, il réfléchit à un plan de secours avant de se lancer dans une folie quelconque. Il tient à Stefan comme à son propre frère de sang, et refuse de le perdre comme il a perdu le reste des siens. Y penser le rend d'ailleurs taciturne, mais c'est une émotion qu'il montre rarement. Il a plutôt tendance à se montrer excité dès qu'il entend le début d'un quelque chose d'idée allant contre les Volturis, et conclura que tous les ennemis de ses ennemis sont ses amis. Même ces étranges loups que Carlisle a adopté comme animaux de compagnie.
Il montre une facette joyeuse et curieuse à la fois à qui veut la voir. Cette facette plus sombre de son être, ce coeur qui souffre en silence, seul Stefan en est témoin.

Anecdotes :

• Stefan et lui ont développé la faculté de terminer chacun les phrases de l'autre. Pires qu'un vieux couple. Leurs voix sont tellement similaires qu'il faut l'oreille d'un vampire pour les différencier.
• Il garde un accent roumain fortement développé... qu'il ne cherche pas à dissimuler, en vérité
• Il dissimule sous sa tenue une chaine en or où se trouve l'alliance de son épouse disparue. La sienne n'a jamais quitté son doigt. Autrement dit, il n'est pas cœur à prendre.

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Vladimir a écrit:
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Ma vie humaine est un grand mystère pour moi. Qu'est-ce que 25 ou 30 années au milieu de trois millénaires, après tout? Je me rappelle juste avoir toujours vécu en Roumanie, sur les terres où j'établirai mon clan, quelques années après ma transformation.
D'abord à la tête d'un clan de quatre vampires, ce qui était déjà énorme à une époque où les nôtres peinaient à vivre ne serait-ce qu'en couple, nous avons uni nos forces à un second clan, augmentant notre nombre à douze. Douze membres régnants, ma compagne et moi-même, ainsi que mes frères et mes sœurs. Auxquels il faut ajouter bon nombre de sous-fifres, hommes de mains et gardes divers et variés. De jeunes transformés, que nous tenions sous notre coupe par l'honneur de nous servir, choisis dans les rangs de nos mortels les plus fidèles. Un millénaire durant, nous avons prospéré, à une époque où ceux de notre race n'avaient pas à se cacher. Nos ouailles savaient ce que nous étions, qui nous étions, et savaient nous servir avec respect ou nous servir de repas.

Puis ils sont arrivés. Les Volturis. Si nous avons d'abord ri de ces inconscients italiens venus nous renverser, nous avons rapidement déchanté. Aro avait compris quelque chose qui nous échappait. Certains des nôtres avaient des dons, et ces dons, ajoutés les uns aux autres, pouvaient se révéler particulièrement utiles. Cette guerre entre nos deux clans dura près d'un siècle, mais plus les années passaient, plus l'avantage allait aux italiens. Lorsque nous prîmes finalement la fuite, abandonnant ces terres qui furent nôtres, il ne restait plus que Stefan, mon épouse et moi-même. Et s'il s'avérait compliqué pour nous de supporter le deuil de Stefan, il devait être aussi compliqué pour lui de supporter la chance que nous avions d'être tous deux en vie et ensemble. Mais vous savez ce qu'on dit de la chance, ça a tendance à tourner.

Durant près d'un millénaire, nous avons multiplié les attaques contre les Volturis, créé plus de vampires qu'aucun autre clan n'en a jamais créé avant nous, perdu autant de chair à canon que nous en fabriquions... avant de cesser tout mouvement, bien trop subitement, je le reconnais aujourd'hui. Durant plusieurs décennies, nous nous sommes contenté de manigancer, de monter un plan imparable, et de transformer de jeunes gens prometteurs. Jusqu'à attendre une bonne centaine de têtes. Notre plan était en béton armé. Mon épouse conduisait l'attaque, suivie d'une centaine de jeunes vampires entrainés, tandis que Stefan et moi prenions les Volturis à revers pour refermer le piège. Mais tout bon plan a une faille, et celle-ci se nommait "Alec et Jane". Les jumeaux diaboliques, dernières recrues de Aro, ont eu le loisir de tester leurs pouvoirs sur nos restes. Stefan et moi avons pu fuir. Mon épouse rejoignit les rangs de nos chers disparus. Une perte qui me mine encore aujourd'hui, même si Stefan est bien le seul à savoir que je l'ai subie, comme je suis probablement le seul à savoir pour la sienne. Pour le reste du monde, nous avons une facette bien plus agréable à vivre.

Après ce nouvel échec, Stefan et moi avons décidé d'un commun accord d'arrêter les frais. Les Volturis prenaient de plus en plus de place dans ce monde, se montraient de plus en plus puissants... et nous n'étions plus que deux. Nous avons même du apprendre à courir pour sauver notre peau après que Aro ai décidé de lancer ses traqueurs à nos trousses.. A dire vrai, nous courons plutôt vite, alors jouer au chat et à la souris avec ce bon vieux Démétri, c'est presque devenu amusant.

Notre petit duo a un temps hébergé un vampire français, Laurent, mais il semblerait que les anciens rois du monde n'étaient plus assez puissants pour lui convenir. Qu'il aille se casser les crocs chez les Volturis s'il le souhaite. Il y a quelques siècles, nous aurions tout fait pour que ces maudits italiens ne récupèrent pas une paire de crocs supplémentaire. Aujourd'hui, on est bien à deux.

Enfin ça, c'était avant. Avant qu'un nouveau clan ne se lève malgré lui. Les Cullen sont voués à anéantir les Volturis et devenir les nouveaux maitres du monde vampire. Carlisle n'en a pas encore conscience, mais pour notre part, même si nous n'avons pas eu le combat que nous espérions, avoir vu Aro hésiter, puis reculer, pour la première fois en deux millénaires, c'est bien la preuve qu'un changement s'est enclenché. Et si nous sommes repartis de plus belle, davantage par habitude que pourchassés par Démétri, désormais, nous nous sommes mis d'accord pour surveiller l'actualité de notre monde d'un peu plus près.

C'est ce qui nous amène en territoire ennemi aujourd'hui. Les Volturis ont peut-être remporté la première bataille en intégrant deux des membres de ce clan, mais nous venons leur apporter deux paires de crocs supplémentaires. Simplement parce que ce monde ne s'en portera que mieux le jour où le dernier Volturi sera réduit en cendres. Et du peu que nous avons côtoyé les Cullen, ils sont ce dont notre monde a besoin. Des dirigeants justes, intègres et désintéressés, capables de réunir les représentants les plus hétéroclites de notre race autour d'une cause commune, dont la moitié n'ont que faire. Un exemple à suivre s"il en est... bon ok, peut-être pas pour le régime alimentaire. Je trouve le sang humain bien trop appétissant pour ça.


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