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 Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?

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Barry Mickaels
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MessageSujet: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitimeMar 16 Aoû 2022, 23:28 ()

Barry Ward Mickaels
ft. Garrett Hedlund

Âge : 32ans
Date de naissance : 1er février 1990
Nationalité : américain
Etat civil : en couple, du moins il l'espère encore
Sexualité : hétérosexuel
Profession / études : mécanicien
Race : loup-garou
Caractère

Question taille, il est dans la moyenne haute avec son presque 1m90, et d'aucuns vous diraient que ses yeux gris en ont fait craqué plus d'une. Il a davantage le look d'un étudiant que d'un adulte dans la vie active, que ce soit de par ses mèches blondes souvent coiffées à la va-vite ou de la légère trace de barbe qu'il garde sur les joues. Avouons-le, il est également plus adepte du jean et du tee-shirt chemise jamais repassés que du costume trois pièces, et puis, comme il n'est jamais réfractaire pour faire un peu de mécanique non prévue sur le bord de la route, de toute manière, vaut mieux éviter le costume trois pièces, il ne durerait pas bien longtemps. Il garde sur l'avant-bras droit la trace de la morsure du monstre qui a fait de lui l'un des siens. Une morsure qu'il fait passer pour une morsure de chien quand on lui pose la question, même s'il aurait largement préféré qu'elle ai été causée par un chien.

On en arrive donc à son caractère. Faut dire ce qui est, il a longtemps été l'archétype du roi du lycée. Adepte de football américain, dragueur invétéré qui n'avait pas beaucoup d'efforts à faire pour obtenir qui il voulait et brisait les cœurs à la pelle, guitariste à ses heures perdues, motard. Les deux derniers lui sont jamais passés, cela dit. C'est une tête brulée également, et les multiples gadins qu'il a pu subir sur sa bécane ne l'ont jamais dissuadé de monter sur son engin. Aujourd'hui, il est moins centré sur lui-même que par le passé, et avouera volontiers que l'influence de Serena y est pour quelque chose. Il aime avoir les mains dans le cambouis, et les vieilles mécaniques.

Race

Il est loup-garou depuis quelques mois seulement, après l'attaque de l'une de ces créatures, qui, non contente d'avoir tué sa mère, lui a presque arraché le bras. La pleine lune a donc une totale influence sur lui, le transformant en un loup gris aux reflets rouquins. Quand il est transformé, il perd le contrôle de lui-même, l'humain laissant totalement la place au loup. Le reste du temps, il est parfaitement "normal", même s'il a tendance à se montrer plus réac à l'approche de la pleine lune. Il n'a d'ailleurs pas besoin de calendrier pour savoir qu'elle approche. Le contact avec l'argent le brûle comme du fer rouge, et si vous l'écoutez, il vous dira que les vampires puent la bête crevée. En dehors des phases lunaires, il ne ressent que peu les effets de sa malédiction, hormis quelques marques laissées dans les accoudoirs quand il s'énerve et que ses griffes sortent. Mais sinon, tant que vous évitez la pizza à l'aconit tue-loup, tout baigne.

Histoire

Barry a eu une enfance des plus banales sous le soleil de Floride, et ce malgré que son père ne regarde trop fréquemment derrière son épaule pour ne pas avoir un passé compliqué à dissimuler à son trop jeune fils unique. Les changements surviennent pour lui l'année de ses dix ans. Son père se fait (trop) distant, quittant la maison de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps, jusqu'à ne plus revenir, ou en de bien trop rares occasions. Sa mère et lui déménagent à la Nouvelle-Orléans, une ville qu'il prend en grippe dès le départ, même s'il finit par tirer son épingle du jeu de ce déménagement perturbant. L'adolescence lui offre une belle petite gueule, un regard qui finit par faire plier bien d'autres filles que la mère qui n'a jamais su se montrer réellement autoritaire face à lui, et une certaine popularité qui ne fait que s'étoffer entre le collège et le lycée. Quarterback de l'équipe de football américain, bien sur, il fait partie de l'élite du bahu, de ceux dont les ringards devraient se sentir glorifiés quand ses yeux se posent sur eux, même si ce n'est que pour mieux les descendre plus bas que terre. S'il en est heureux? Il le croit, sincèrement, même si une part de lui peine à rire avec les autres parfois. Surtout quand il s'agit de Strangy. La tarée aux cheveux verts. Elle le déteste, ça se voit dans son regard à chaque fois qu'il suit la majorité à se foutre de sa tronche. Et pourtant, elle pourrait quand même remarquer qu'il n'attaque jamais le premier, bien que la haine qu'elle dégage envers lui l'aide à rester le petit con qu'il est face à elle. Même si ça a parfois été compliqué, comme cette fois où Barbie - une blonde vénitienne d'1m95 juchée sur des talons de 12cm qu'il larguerait aussi aisément que les 15 dernières filles avec lesquelles il est sorti au cours du semestre - l'a poussée "accidentellement" contre les casiers et lui a ouvert la lèvre en passant. Il s'est trouvé à deux doigts de se renseigner de la santé de la victime de l'affaire.

"T'as vu ça Barry? Cette petite idiote a froissé mon chemisier!!"  

Jusqu'à ce que la réalité se rappelle à lui, et qu'il se contente d'un regard sincèrement désolé en direction de Strangy avant de passer un bras autour des épaules de Barbie et de la suivre dans sa scène de mijaurée.
C'est à l'approche du bal de promo que ça s'est imposé à lui. Un peu tard, cela dit. Qu'il avait vraiment pas envie de s'afficher avec une de ces poufs qui ne voulaient être avec lui que parce qu'il avait un semblant de popularité au lycée. Barbie? Oubliée depuis longtemps, de même que Krissy, Bianca, Katie et d'autres dont le nom ne lui revenaient même pas, et qui pourtant, se pressaient toutes à lui demander d'aller au bal avec lui. Jusque là, il pensait que c'était au mec d'inviter la fille, déjà. Alors il avait décidé de faire plus simple. Se tirer sur sa moto, et ne surtout pas être joignable ce soir là. Jusqu'à ce qu'en sortant prendre l'air entre deux cours, il se retrouve assis sur le même banc que Strangy, sans même s'en rendre compte. La voyant prête à se lever pour disparaitre avant qu'il n'ait pu lui jouer un mauvais tour, il attrape son poignet pour la retenir.

"Reste."

S'il se montre pour une fois plus vulnérable qu'il ne l'aurait voulu, surtout face à elle? Difficile de s'en rendre compte soi-même. Il se contente de rester là, silencieux, inconfortable au possible, mais en même temps soulagé de ne pas avoir, pour une fois, sa bande de "supporters" sur le dos. C'est là que l'idée lui est venue. Qu'il y avait bien UNE fille dans ce bahu qui ne voudrait pas aller au bal avec lui juste pour sortir avec le quarterback de l'équipe.

"Tu viendrais au bal avec moi?"

Apparemment la meilleure chose à dire pour la voir se lever et partir sans un mot.

"J'suis sérieux tu sais?"

Non, elle le savait pas. Qui aurait pu l'en blâmer? Six ans qu'il lui prouvait chaque jour que sérieux, il ne savait pas l'être. Il a fallu qu'il insiste plus que lourdement. Et même se prenne le chou devant toute la classe prof compris avec une de ses exs qui s'obstinait à obtenir une réponse positive de sa part, finissant par lui faire fuir le cours sans attendre qu'on lui en donne l'accord, se retrouvant dans le bureau du proviseur qui l'a bien sur laissé repartir en moins de cinq minutes. Limite s'il n'aurait pas demandé des heures de colle, juste pour marquer le coup.

A force de persuasion, il a fini par la convaincre. Ne lui demandez pas par quel miracle, il répondra simplement que c'est plus facile d'inviter une fille populaire que la dernière des ringardes. Plus facile d'inviter une façade qu'une fille réellement intéressante. Avec elle il n'avait pour une fois pas envie de jouer. Pas de coup fourré, pas de mauvais tour. Et en ce qui concernait les chuchotements qui se propageaient alors qu'il passait la soirée avec elle sans se défiler, il les ignorait royalement. Et puis, avouez qu'elle était belle dans cette robe qui rappelait la couleur de ses cheveux. Même si elle semblait préférer être ailleurs. Alors ailleurs, ils ont fini par y aller. Si il n'aimait toujours pas cette ville qui n'était pas la sienne, il devait bien avouer que le quartier français valait le détour. D'ailleurs, au fil des mois qui ont suivi, Serena lui a appris à apprécier cette ville. Lui qui l'avait "survolée" pendant six ans l'a laissé l'entrainer dans des recoins que seul un natif du coin pouvait connaitre. Concernant ses "copains" du lycée? Un truc à savoir avec ce genre d'équipe. Quand un mec populaire sort avec une fille tout sauf populaire, c'pas elle qui monte en grade, c'lui qui descend. Pour être honnête, Barry a apprécié cette dernière année davantage que les suivantes, et pas une seule fois il lui est venu à l'idée de garder leur relation secrète.

C'est pour ça que leur rupture lui a fait si mal. Parce qu'il n'a pas compris pourquoi. Ce qu'il avait bien pu faire de mal. Ce qu'elle avait pu avoir trouvé de mieux ailleurs. Parce qu'ils étaient bien ensemble. Non, il rêvait pas de grande maison pleine de gosses avec une belle palissade blanche bien clichée. Fallait pas trop en demander au branleur de dix-sept ans qu'il pouvait être. Mais c'était bien la première fois qu'il se sentait sincère avec quelqu'un, et ce manque soudain, il a eu du mal à le gérer.

Sa première réaction a été de monter sur sa moto et prendre la route sans vraiment savoir où il allait. Croiser son père par le plus grand des hasards, quelque part dans un bar de croisement au beau milieu de nulle part. Avoir une sérieuse conversation, parfois posée, souvent houleuse, avec cet homme qui était lui aussi sorti de sa vie sans se retourner. "Être parti pour le protéger", c'est ce qu'il en a tiré, au final. Contre le passé tumultueux de son paternel, ok, mais Serena, de quoi aurait-elle vraiment voulu le protéger? Enfin, même si il n'avait pas toutes les réponses, il ne nierait pas que cette conversation lui avait fait du bien - autant que de dire ses quatre vérités à son géniteur d'ailleurs -, et c'est plus serein qu'il revint en ville, même si il ne devait jamais oublier cette fille qui avait changé sa vie du tout au tout. Il finit ses études sous les railleries de ses anciens camarades, comme quoi même Strangy était trop bien pour lui, mais il s'en lava totalement les mains, se concentrant sur ses études plus que jamais, se perdant sans doute un peu dedans, ce qui lui permit de remonter sa moyenne au dernier semestre, et pas qu'un peu, certains professeurs désobligeants lui faisant remarquer que s'il s'en était donné la peine dès le début, il aurait pu faire mieux encore. S'ils savaient comme il s'en fichait.

Dix ans ont passé loin d'elle. Dix ans pendant lesquels il a avancé, plus ou moins. Il s'est essayé à plusieurs boulots, avant de comprendre qu'il n'était jamais aussi bien dans sa tête que les mains dans le cambouis et la tête dans le moteur d'un bolide ou d'un autre. Il a passé de nombreuses heures dans ce bar à gratter sa guitare sur des rythmes qui lui venaient comme ça et repartaient avant qu'il n'ait réellement pu les retenir lui-même. Il a même arrêté de fumer, comme ça, sans s'en rendre compte, sauf ce jour où il a retrouvé un paquet à demi entamé dans la poche d'une veste en se demandant depuis combien de temps il n'y avait pas touché. Se caser à nouveau? Il a autant cherché que trouvé, en vérité. Si ça lui était tombé dessus sans prévenir, il aurait saisi sa chance bien sur, mais l'occasion ne s'est jamais présentée à lui. Non pas qu'il restait hanté par son souvenir, non. Il avait souffert certes, mais il s'en était remis, comme de nombreuses personnes au cœur brisé avant lui. Juste qu'il avait d'autres choses en tête que de chercher à rencontrer quelqu'un.

Tout s'est arrêté y a trois mois. Un soir que Barry était allé diner chez sa mère, et qu'ils en profitaient pour discuter tranquillement sur la terrasse, comme l'aurait fait tout un chacun dans ce quartier trop calme où on n'entendait pas même un coup de frein d'une voiture qui aurait pris un virage trop rapide. C'est là que la bête a attaqué. Il a d'abord cru à un chien, mais sérieusement, un chien pareil il n'en avait jamais vu. Il s'est interposé entre sa mère et elle, y récoltant une morsure au bras qui aurait pu lui arracher le membre. Avant qu'un coup de feu ne soit tiré. Et que la bête ne change de cible, se jetant sans hésitation sur la porteuse de l'arme. Mauvais tireur comme pas deux, Barry a pourtant essayé, de récupérer l'arme, de viser comme il pouvait, malgré la douleur, malgré la peur, malgré l'étourdissement qui manquait lui faire perdre connaissance. Il ne sut jamais s'il avait touché sa cible ou pas. Ses souvenirs suivants se passent sur un brancard, avec un de ces hommes de médecine qui lui annonçait ce qu'il savait déjà, concernant sa mère. Lui? Hormis qu'il allait mettre un moment à se servir de son bras à nouveau, ça pouvait aller. Physiquement du moins. Mentalement, il allait avoir du boulot.

Un mois durant, il est passé de moments de doute à crises d'angoisse nocturnes, parvenant à retrouver un certain calme quand il se retrouvait sous le châssis d'une voiture. Quand il ne pensait pas, étrangement, à cette fille à qui il avait si peu pensé en quinze ans. Pourquoi elle? Aucune idée, vous répondra-t-il. Le lien entre deux? Avec les voitures, c'est de se concentrer sur quelque chose sur lequel il avait tout contrôle, et qui lui donnait parfois des casse-têtes qui occupaient l'intégralité de son cerveau. Avec elle, c'est de réfléchir à un casse-tête jamais résolu. A savoir, pourquoi être partie sans donner la moindre nouvelle, et pourquoi n'avait-il pas davantage insisté pour la retrouver.

Jusqu'à cette nuit de pleine lune qu'il n'a pas vu venir. Parce qu'il n'avait pas plus réfléchi que ça aux conséquences de cette attaque. Il avait bien remarqué qu'il était d'une humeur de chien ce jour-là, mais ça arrive à tout le monde d'envoyer chier le monde une fois de temps en temps. Le problème ça a été le lendemain matin. Quand il s'est réveillé à l'autre bout de la ville complètement pommé et sans savoir comment il était arrivé là. Des souvenirs précis? Aucun. Des bribes de souvenirs? A peine. Comme de s'être senti prêt à mettre quelqu'un en pièces avant de parvenir à sortir par la fenêtre. C'est ce qui l'a convaincu de chercher à retrouver son père, qu'il pensait le plus à même de l'aider à comprendre ce qui lui arrivait. Parce que oui, une attaque de loup-garou ça aide à mettre deux et deux ensemble concernant l'existence du surnaturel et le fait que son père devait en savoir bien plus à ce sujet qu'il ne voulait bien lui dire. Et c'est en fouillant dans les affaires de sa mère qu'il finit par trouver un carnet écrit de la main de son père, et une adresse. Une piste à explorer peut-être.

C'est comme ça qu'il finit par arriver à Chicago, à la fois étrangement attiré par la magie de l'endroit, et à la fois perturbé par les sensations que lui apportent cette ville. En deux mois, le mec débarqué avec sa moto et son sac à dos a su s'installer. Se trouver une location pas vilaine en banlieue, avec juste assez de terrain et un garage pour pouvoir bricoler tranquille. Dépanner quelques véhicules en carafe et se faire un petit réseau de bouche à oreille. Bloquer la moitié du garage avec la vieille Plymouth Fury de 1970 qu'il compte bien réussir à refaire rouler, alors que conduire les voitures, c'est quand même pas son truc, de base. Mais faut pas chercher, celle-là lui a tapé dans l'œil.
Sa malédiction? 29 jours par mois il essaye de ne pas y penser. Le premier soir de pleine lune, il a pensé que s'enfermer chez lui suffirait, tentant de s'enchainer dans la cave, suivant une mauvaise série SF sur le sujet. Il a été bon pour changer deux fenêtres par lesquelles il n'avait à priori eu aucun mal à passer.  La seconde fois, il est allé se perdre en forêt, se disant qu'il risquait de faire moins de dégâts qu'en pleine banlieue pavillonnaire. Ecumant la presse locale du lendemain pour s'assurer n'avoir rien fait qu'il regretterait. Autant dire qu'il ne refuserait pas l'aide d'un congénère s'il s'en trouvait un pour l'aider. En attendant, il préfère rester avec ses vieilles mécaniques, et évite de trop sortir, quitte à se montrer légèrement désagréable envers la jeune et jolie voisine qu'il ne laisse pas insensible. Clairement pas. Il n'a pas envie de jouer à ce jeu, même si il ne lui refusera pas de réparer une fois encore cette voiture qui tombe mystérieusement en panne.

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[b]Barry Mickaels[/b] : loup-garou, mécanicien et guitariste à ses heures. Il est le fils d'un chasseur, et il espère bien retrouver son père pour lui demander quelques conseils, sans se douter que la rencontre pourrait être moins agréable que prévue. En attendant, il compte bien se faire une place en ville, et il se pourrait qu'il retrouve une vieille connaissance qu'il n'a jamais oublié...


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MessageSujet: Re: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitimeMar 16 Aoû 2022, 23:53 ()

Coucou I love you brille cheerleader excited bed

Si je viens te valider ? Ah non, non, je viens juste faire du lèche-vitrine ...

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MessageSujet: Re: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitimeMer 17 Aoû 2022, 00:15 ()

Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Skv5Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? V0twBarry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Ub3v

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MessageSujet: Re: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitimeMer 17 Aoû 2022, 14:48 ()

T'es incorrigible sur le nombre de personnages!

Re-Bienvenue!

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MessageSujet: Re: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitimeMer 17 Aoû 2022, 21:03 ()

Ahh qu'est-ce que tu veux Gab', on se refait pas ^^

Félicitations


Bienvenue officiellement dans la ville de Chicago!

Maintenant qu tu es validé(e), passe recenser ton métier par .
Nous te demanderons ensuite d'ouvrir un topic de liens par ici, afin de te permettre de te trouver des amis, des liens divers et variés, mais également des RPs. D'ailleurs, tu peux en faire la liste par ici si, comme nous, tu as une petite tête.

N'hésite pas à faire des demandes de rp par ici. Besoin d'un lieu où habiter, où travailler? Un coin oublié en ville? C'est par ici.

N'hésite pas non plus à passer faire un tour sur le flood, mais n'oublie pas de rp pour autant Wink

Code:
On en a déjà parlé, ta fiche nous a plu avant même que tu ne la postes officiellement, c'est tout bon :) Hâte de voir le jeune loup en action ;)

Codage par Libella sur Graphiorum

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MessageSujet: Re: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitimeVen 19 Aoû 2022, 18:33 ()

Merci ma belle <3
Hate de rp avec toi !

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MessageSujet: Re: Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup?   Barry Mickaels - Si l'homme est un loup pour l'homme, qu'en est-il du loup? Icon_minitime ()

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